Quelques souvenirs

 

 

Fin du vingtième, en compagnie de Marthe, je commence à découvrir l’interface entre ciel et terre. C’est une révélation, un enchantement au sens littéral du mot. J’accède à une nouvelle dimension. Plus rien ne sera pareil

 

Timbis en Thaïlande sera notre première épopée parapentiste, même Marlène y vola avec Bernard. A y réfléchir, je me dis que nous n’avions guère froid aux yeux…

 

Nous avions besoin d’évoluer, c’est au sein du cvlg que nous trouvâmes de quoi progresser.

L’envie de découvrir nous poussa à voyager avec notre voile…

St André vit l’avènement des pieds nickelés.

Puis, du Cotentin à l’Andalousie en passant par la Provence et le pays de Galles, nous vécûmes leurs lettres de noblesse.

Plus à l’Ouest, en team restreint,  l’archipel des Açores nous fit découvrir son jardin incroyable.

De stages en voyages, le parapente s’avèra un magnifique vecteur de découvertes et de partage. Et, il faut le reconnaître, un maître parfois très exigeant. Mais quand on aime…

Vienne la nuit sonne l’heure

Les jours s’en vont je demeure

Passent les jours et passent les semaines

Ni temps passé ni les amours reviennent

Sous le pont Mirabeau

coule et coulera la Seine